La situation du lynx boréal en France

Solitaire et discret, le lynx est présent dans les massifs des Vosges, du Jura et des Alpes. Photo : Laurent Geslin

Réduire les conflits d’acteurs pour mieux conserver l’espèce

Moins médiatisé que le loup ou l’ours, le lynx boréal subit néanmoins lui aussi les menaces auxquelles sont confrontés les grands prédateurs sauvages. En 2020, un Plan national d’action est en cours de finalisation. Cependant, pour que ce dernier puisse devenir un outil efficace de la conservation du lynx en France, un travail de médiation devra être mené au plus vite pour promouvoir la communication entre des acteurs dont les points de vue divergent.

Texte : Marine Drouilly, rédactrice du Plan national pour la conservation du lynx boréal (SFEPM/WWF France)

Photos : Laurent Geslin

Texte publié initialement dans Le Courrier de la Nature n° 321, mars-avrils 2020

À côté du loup gris (Canis lupus) et de l’ours brun (Ursus arctos), le lynx boréal (Lynx lynx) est le troisième grand carnivore présent en France. Sa large répartition à travers l’Europe et l’Asie, de la Scandinavie au Caucase et jusqu’à l’Extrême-Orient russe, lui vaut d’être objet de « Préoccupation mineure » sur les listes rouges mondiale et européenne de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). L’apparence positive de ce statut de conservation global ne doit cependant pas masquer les fortes disparités régionales entre populations européennes. Ainsi, sur les onze populations de lynx décrites en Europe, six sont menacées. En France en 2018, le félin est présent sur une aire d’environ 10 400 km2 dont 8 800 km2 de présence régulière, au sein de trois massifs : les Vosges, le Jura et les Alpes. Les noyaux de population jurassien et alpin sont listés comme « en danger » depuis 2009, et celui du massif vosgien « en danger critique d’extinction » depuis 2017 selon l’UICN.

Jeune lynx de huit mois dans la neige. Alpes suisses. Photo : Laurent Geslin

Un super-prédateur

Le lynx boréal est un mammifère carnivore solitaire, que l’on qualifie de super-prédateur. Sa place au sommet de la chaîne alimentaire lui confère en effet un rôle prépondérant au sein des écosystèmes de par la régulation qu’il exerce sur les populations de ses proies. En Europe, plus de trente espèces ont été recensées dans son régime alimentaire, du chevreuil (Capreolus capreolus) au chamois (Rupicapra rupicapra) en passant par le lièvre européen (Lepus europaeus), les petits carnivores comme le renard roux (Vulpes vulpes) qu’il tue mais ne consomme pas toujours, et le renne semi-domestique en Scandinavie. En France comme en Europe occidentale, les proies de prédilection du lynx sont les ongulés sauvages de petite et moyenne taille. Le chevreuil et le chamois peuvent ainsi constituer près de 90 % de son régime alimentaire. [1]

En tant que super-prédateur, l’impact du lynx boréal – réel ou avéré – sur certaines activités humaines peut être perçu de manière négative. Ainsi, les éleveurs ovins considèrent parfois le lynx comme une difficulté supplémentaire à laquelle faire face, dans un contexte de crise qui touche le milieu de l’élevage depuis de nombreuses années (concurrence internationale, cours de la viande en baisse, diminution de la consommation de viande ovine, bas salaires, changements climatiques, etc.). Pourtant, en Europe occidentale, la prédation du lynx sur le cheptel domestique est ponctuelle et isolée. Elle porte principalement sur des exploitations dont les caractéristiques locales semblent expliquer le phénomène : troupeaux paissant à proximité de forêts, en zones où l’abondance de chevreuils est élevée, éloignés des habitations humaines et sans mesures de protection. [2] Ainsi, entre deux et six foyers de prédation représentent 30 à 70 % du nombre total d’attaques sur le cheptel domestique (entre 50 et 110 bêtes tuées par an depuis 2001, en particulier dans le massif jurassien, cœur de la population française de lynx). Les éleveurs ovins, en grande majorité, semblent heureusement reconnaître que la prédation du félin ne constitue pas un réel problème, mais certains d’entre eux, plus inquiets, ne tolèrent pas sa présence.

Femelle dans le Jura suisse. Photo : Laurent Geslin

Carnivore appartenant à la famille des félidés, le lynx boréal possède trois principales caractéristiques physiques permettant de le reconnaître : une queue courte terminée par un manchon noir, des pinceaux noirs surmontant ses oreilles et pouvant mesurer jusqu’à 6 cm, et des favoris noirs et blancs présents le long de ses joues et donnant à sa tête un aspect volumineux. La couleur de son pelage varie géographiquement du roux au beige et au gris. Sa fourrure est parsemée de taches noires, uniques à chaque individu et qui permettent de les identifier. Le lynx mesure entre 80 et 11 cm sans la queue pour une masse corporelle allant de 15 à 30 kg pour les adultes.

Deux visions du lynx qui s’opposent

Le lynx se trouve également au cœur du conflit qui agite le monde cynégétique face à celui des associations de protection de la nature. Les chasseurs considèrent en effet le félin comme un compétiteur déloyal puisqu’il est protégé et ne peut donc pas être régulé. Sa présence fait craindre à certains chasseurs une raréfaction du gibier, à tel point que le lynx a même été qualifié de « braconnier à quatre pattes » par les chasseurs haut-rhinois au début des années 1980. [3] Dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle où la location des baux communaux de chasse peut représenter de 1 à 4 % des recettes du budget de fonctionnement des communes rurales, la présence du lynx est rarement vue d’un bon œil puisqu’elle pourrait faire diminuer la valeur des adjudications de chasse. Le statut de protection du lynx est régulièrement remis en cause par le monde cynégétique puisqu’il empêche toute possibilité d’intervention et de gestion de ses populations. Les associations de protection de la nature quant à elles, veillent à ce que ce statut soit conservé, voire renforcé dans certains cas, au vu des données de terrain. Elles prônent également, pour la plupart, un renforcement des populations existantes. Elles se fondent pour cela sur la variabilité génétique probablement faible des noyaux de populations françaises, due à leur petite taille, à leur isole- ment et au nombre restreint d’individus fondateurs de ses noyaux. Ces deux visions de la nature s’opposent constamment et participent ainsi à politiser le rapport au lynx. Le manque de communication entre le monde cynégétique et celui de la protection de la nature est ancien et prend ses racines au cœur de nombreux autres sujets. Malheureusement, ce conflit d’acteurs empêche la France de rejoindre d’autres pays européens tels que l’Allemagne, la Croatie ou encore la Slovénie, qui parviennent à faire travailler ensemble associations de protection de la nature, chasseurs et administrations pour la conservation du lynx.

Femelle tirant sa proie, un chevreuil, dans le Doubs, Jura français. Photo : Laurent Geslin

Un acteur clef de l’écosystème forestier

Faciliter l’acceptation du lynx par différents publics passe égale- ment par la reconnaissance de ses impacts positifs au sein des écosystèmes et de notre société. Le félin s’avère en effet être un acteur clé au sein des forêts qui l’abritent. Il permet de restaurer des processus naturels tels que la prédation et les comportements anti-prédateurs de ses proies (appelés « paysage de la peur »). Il approvisionne en carcasses de nombreuses espèces qui en bénéficient comme le grand corbeau (Corvus corax) ou la martre des pins (Martes martes) en France, mais aussi le glouton (Gulo gulo) en Scandinavie. Le lynx participe également à la persistance du milieu forestier : en exerçant sa prédation sur les ongulés sauvages, le lynx peut en effet soulager la végétation de la pression d’abroutissement que les herbivores exercent localement, allant jusqu’à maintenir l’équilibre en nutriments des sols. [4] Certaines études mettent même en avant sa capacité à faire baisser les dégâts dans les cultures et à limiter la compétition entre ongulés sauvages et domestiques au sein des pâturages. [5] Le lynx pourrait aussi jouer un rôle en permettant de limiter la transmission de zoonoses en contrôlant les populations de proies et de mésocarnivores infestés.

Jeune lynx de quatre mois, Alpes. Photo : Laurent Geslin

Une espèce emblématique

Au-delà de ces services écosystémiques rendus par le lynx, des impacts positifs du félin sur l’économie de villes et de régions entières ont déjà été mis en avant. En effet, en tant qu’espèce emblématique, le lynx présente le potentiel de générer des bénéfices économiques importants, et ce, même si les chances de l’apercevoir à l’état sauvage sont très faibles. Comme de nombreux autres félins à travers le monde, le lynx pourrait devenir un atout considérable pour l’industrie du tourisme de nature, en pleine croissance. Cet avantage n’a pas encore été exploité par la France (seul le Parc naturel régional des Vosges du Nord a commencé à utiliser l’image du félin en créant affiches et cartes postales pour leurs visiteurs). En revanche, d’autres pays ont bien compris l’intérêt économique que pouvait représenter la présence d’un grand félidé. En Allemagne par exemple, les parcs nationaux des Montagnes du Harz et de la Forêt de Bavière, ainsi que la ville thermale de Bad Harzburg en Basse-Saxe ont développé ou diversifié leur offre touristique grâce à l’image du lynx. Hébergements, restaurants, transports, artisanat, produits gastronomiques locaux, tous utilisent l’effigie du « chat aux oreilles surmontés de pinceaux » pour promouvoir leurs produits. Les résultats d’un sondage mené par la société AECOM pour le compte du Lynx UK Trust estiment qu’au total, le lynx rapporterait entre 8 et 13 millions de livres sterling (entre 9,4 et 15,3 millions d’euros) dépensés annuellement par les touristes dans les montagnes du Harz. [6] Ces impacts positifs, s’ils sont étudiés, quantifiés et partagés avec le plus grand nombre, pourraient permettre d’accentuer la motivation pour la conservation du lynx, voire pour le renforcement de ses populations. Ils permettraient aussi d’améliorer les travaux existants pour limiter les menaces qui pèsent sur le félin.

À l’image de ce qu’il se passe dans plusieurs pays européens, diverses menaces pèsent en effet sur le lynx boréal en France. Celles-ci varient en fonction des systèmes socio-écologiques considérés, des périodes de l’année et des contextes locaux. Bien que certaines causes de mortalité, comme les collisions routières, soient facilement identifiables, d’autres le sont beaucoup moins du fait de leur caractère illégal (destruction, empoisonnement) ou cryptique (maladies). Certaines encore s’exercent à de grandes échelles (fragmentation de l’habitat et limitation des mouvements de dispersion) et l’identification de leurs impacts sur la survie des populations de lynx pâtit d’un manque de recherche scientifique adaptée (diversité génétique, malformations congénitales). Enfin, le facteur humain de l’acceptation des grands carnivores reste un enjeu majeur pour leur conservation en France comme en Europe. Celui-ci doit impérativement être considéré avant la mise en place de tout programme visant à renforcer les noyaux de populations de l’espèce. La faible acceptation du prédateur est d’autant plus forte dans un pays comme la France où le lynx a entièrement disparu du territoire entre le XVIIe et le début du XXe siècle. Sa disparition et son caractère énigmatique ont quasiment réduit à néant le peu de liens physiques et culturels que nous avions avec lui. Il est d’ailleurs le grand carnivore le plus méconnu des Français. Son retour, naturel par dispersion depuis la Suisse voisine dans les années 1970, ou du fait du programme de réintroduction vosgien des années 1983-1993, fut alors perçu de manière négative par certains et très peu de Français sont, aujourd’hui encore, au courant de son existence sur le territoire national (cf. n° 303, p. 39 à 45).

Femelle consommant sa proie en sous-bois, dans le Doubs. Photo : Laurent Geslin

Une espèce méconnue qui bénéficie d’un regain d’intérêt

Ce manque de connaissances générales au sujet du lynx (les experts français de l’espèce se comptent sur les doigts d’une main) ainsi que sa grande discrétion n’ont pas facilité sa prise en compte au sein des politiques publiques de conservation. Ainsi, jusqu’en 2018, aucun Plan national d’actions pour le lynx boréal n’avait été évoqué ou mis en place par l’État français, bien que le lynx fasse partie des espèces protégées. Seules quelques propositions associatives existaient, en plus d’une initiative en cours pour la mise en place d’un plan régional d’actions sur l’espèce dans le massif des Vosges. [7] En 2018, l’Unité mixte de service PatriNat, actualise la liste des espèces prioritaires pour l’action publique en France. La tendance de la population française du lynx boréal passe alors de « augmentation » sur le massif jurassien à « diminution » sur l’ensemble de son aire de répartition métropolitaine. Fort de ce constat alarmant et cherchant à combler l’absence de Plan national d’actions (PNA) gouvernemental pour l’espèce en France, le WWF France s’appuie sur la circulaire du 9 mai 2017 autorisant une structure privée, comme une ONG, à porter un PNA. Il commandite alors un Plan national pour la conservation du lynx (PNCL), dont il confie la rédaction à la Société française pour l’étude et la protection des mammifères (SFEPM) en juin 2018. Le PNCL vise à assurer le rétablissement de chacun des trois noyaux de population (vosgien, jurassien et alpin) dans un état de conservation favorable en proposant une série de 21 actions concrètes reposant sur trois domaines : la protection/gestion conservatoire, la connaissance/veille écologique, et la communication/sensibilisation/animation. Le but est de recréer à terme une population viable de lynx sur l’ensemble de l’aire de répartition potentielle du félin, relativisée au vu des contraintes géographiques, de l’évolution de l’aménagement du territoire et des logiques d’acteurs d’aujourd’hui.

La nécessité d’un travail en concertation avec tous les acteurs

Cette décision du WWF France pousse l’État à l’action et fin septembre 2018, le ministère de la Transition écologique et solidaire fait savoir qu’il souhaite à son tour engager un Plan national d’actions pour le lynx boréal. Il désire rassembler tous les acteurs autour de la table, y compris les chasseurs, qui avaient de leur côté refusé de participer aux concertations du PNCL. La Fédération nationale des chasseurs juge en effet que seul l’État doit porter un tel projet et incite donc les fédérations régionales et départementales à ne pas participer au PNCL. Cependant, le principal motif de ce refus des chasseurs est lié au fait que leur propre Projet prédateur-proies Lynx (PPP Lynx) [8] (co-porté par l’ONCFS et le CNRS) ait été rejeté par deux fois en date du 19 octobre 2017 et du 27 avril 2018 par le Conseil national de la protection de la nature (CNPN), pour qui ce projet d’études sur les relations entre le lynx et ses proies n’est pas prioritaire face à la nécessité d’un PNA. Ces deux rejets sont considérés comme injustes et injustifiés par le monde cynégétique. L’État décide donc à son tour d’écrire un PNA en faveur du lynx boréal, espérant cette fois rassembler tous les acteurs, en s’appuyant en partie sur le plan écrit et publié en août 2019 par la SFEPM et le WWF France. [9] Il en confie la coordination à la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement Bourgogne Franche-Comté et la rédaction à l’ONCFS (désormais Office français de la biodiversité, OFB). Le PNA en faveur du lynx boréal devrait donc être soumis à l’avis du CNPN (commission espèces et communautés biologiques) en mars 2020, mais sa validation finale relèvera du ministère, et plus particulièrement de la Direction de l’eau et de la biodiversité. La question épineuse qui reste en suspens à l’heure de l’écriture de cet article (début janvier 2020) est celle de l’inclusion – en partie – de certaines actions du PPP au sein du PNA. Alors que le monde cynégétique et ses partenaires tentent de faire pression dans cette direction, la grande majorité des associations de protection de la nature rejette cette proposition. Leur plus grande crainte est de voir un tel projet se concrétiser pour les mauvaises raisons. En effet, à plusieurs reprises, les fédérations de chasse partenaires, notamment celle du Jura, n’ont pas caché leurs intentions d’utiliser les données scientifiques collectées lors de ce projet pour démontrer la nécessité de réguler le lynx en France. À ces craintes, l’OFB et le CNRS répondent que le type de données récoltées (nécessitant notamment de capturer et d’équiper lynx, chevreuils et chamois de colliers GPS) sera unique en Europe, permettra de répondre à de nombreuses questions qui pourront servir à la conservation du lynx et ne sera analysé que par les scientifiques et experts de l’OFB et du CNRS, pas par les chasseurs.

À l’heure actuelle, il est difficile de penser que les porteurs du PNA, seuls, pourront permettre de résoudre ce conflit d’acteurs qui est ancien, ancré dans de nombreux autres sujets et qui souffre d’un réel manque de communication et de confiance réciproque. Seul un travail de médiation, mené par des médiateurs professionnels indépendants et spécialisés dans la résolution des conflits, dans le respect des lois et des statuts de protection internationaux du lynx, pourrait permettre de dénouer la complexité de la dimension humaine de ce conflit. Faute de quoi, comme pour de nombreuses autres espèces de carnivores ou de grands herbivores au monde, le lynx en subira les conséquences néfastes et il y a fort à parier que cette situation ne sera pas bénéfique à l’amélioration de son statut de conservation en France.

Ce lynx a été surpris par un piège photographique. Jura suisse. Photo : Laurent Geslin

Nous remercions Laurent Geslin pour les photographies illustrant cet article, qui figurent dans son ouvrage Lynx, Regards croisés (2014, Éd. Slatkine), disponible sur le site internet www.laurent-geslin.com.

 

 


Références

  1. Jobin A., Molinari P. et Breitenmoser U. 2000. Prey spectrum, prey preference and consumption rates of Eurasian lynx in the Swiss Jura Mountains. Acta Theriologica, n° 45 (2), p. 243-252.
  2. Stahl P., Vandel J. M., Ruette S. et al. 2002. Factors affecting lynx predation on sheep in the French Jura. Journal of Applied Ecology, n° 39, p. 204-216.
  3. Ferreira-Koch D. 1998. Les éleveurs et les chasseurs des Vosges du Nord et leurs relations au Lynx (Lynx lynx). Image et place de l’animal dans notre société. Annales Scientifiques de la réserve de Biosphère des Vosges du Nord, n° 6, p. 77-94.
  4. Morris T. et Letnic M. 2017. Removal of an apex predator initiates a trophic cascade that extends from herbivores to vegetation and the soil nutrient pool. Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences, n° 284, p. 1-9.
  5. Ripple W. J., Estes J. A., Beschta R. L. et al. 2014. Status and ecological effects of the world’s largest carnivores. Science, n° 343, p. 151-162.
  6. White C., Almond M., Dalton A. et al. 2016. The Economic Impact of Lynx in the Harz Mountains. Préparé par AECO pour le Lynx UK Trust. 7 pages.
  7. Charbonnel A. et Germain E., coord. 2019. Plan Régional d’Actions en faveur du Lynx boréal (Lynx lynx) dans le Massif des Vosges : Rétablir l’état de conservation du Lynx le massif dans le cadre d’une démarche participative, concertée et partagée avec les acteurs du territoire. Centre de Recherche et d’Observation sur les Carnivores (CROC). 254 pages.
  8. Fanjul J.-B. 2018. Programme prédateur-proies lynx. Bulletin d’information n° 1, octobre 2018, 4 pages.
  9. Drouilly M. 2019. Plan d’actions pour la conservation du Lynx boréal (Lynx lynx) en France – Propositions à mettre en œuvre par l’État dans le cadre d’un PNA. SFEPM/WWF France. 177 pages, 2 annexes.

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